Dernièrement durant le cours d’arts d’expression nous avons découvert
une nouvelle cinéaste, Agnès Varda et plus particulièrement une de ses oeuvres.
Ce film s’appelle « Les glaneurs et la glaneuses ». son voyage.
Pour rappelle le glanage est un droit d’usage sur la production agricole
qui existe sous différentes formes depuis le Moyen-Age.
Dans ce film, Agnès Varda nous décrit un monde dans lequel elle
rencontre des glaneurs, dans lequel elle glane même elle-même. Elle y interview
des agriculteurs, des glaneurs et nous raconte les différents péripéties de la
vie des glaneurs.
Tout d’abord, ce film ne respecte en rien les règles académiques du 7ème
art. En effet, le schéma narratif n’est pas respecté, il n’y ni structure, ni
logique. La technique de tournage n’est pas approfondie. En bref, ce film
ressemble à un film amateur, les moyens sont simples et économiques, ce qui
rappelle le sujet et le thème principal du film qu’est le glanage.
Ensuite, Agnès Varda nous montre l’absurdité de la société de
consommation. Elle nous expose cela comme thématique principale du film. Elle
met surtout en évidence le gaspillage de la société de consommation, notamment
en montrant pourquoi on choisit telle patate et non telle patate.
Pour conclure, Agnès Varda m’a fait découvrir une toute nouvelle forme
du 7ème art, ce que l’on appelle le documentaire de création, qui
mélange subjectivité et art. Je n’ai pas du tout aimé ce film car selon moi il
est trop loin du cinéma académique, voire même du cinéma d’auteur classique. Je
n’ai pas réussi à accroché et j’ai été surprises par la technique peu élaborée
du tournage, même si cela était voulu.